Sur le marché de Lumbres, les commerçant·es et consommateur·rices ont raconté leurs souvenirs et leurs rêves d’actualité.
Auteur : LA CARAVANE DES MÉDIAS
Aujourd’hui dans la petite station balnéaire de Wimereux, c’est la Fête de la moule. L’occasion de demander aux vacanciers si l’actualité les suit sur la plage.
Selon le rapport de l’Observatoire des inégalités, 65 % de ceux qui s’expriment à la télévision sont des cadres supérieurs, 2 % des ouvriers. La caravane est allée en discuter avec les bénéficiaires d’une épicerie solidaire à Ferques (62).
À la ressourcerie Pique et Presse de Rinxent (62), on a croisé une sacrée bande de bénévoles retraitées. Elles nous ont parlé de la vieillesse dans les médias, du décrochage d’internet et de l’importance de rester actives et aidantes.
Qu’écoute-t-on quand on passe une dizaine d’heure par jour sur la route ? Nous sommes allés interroger les routiers qui prenaient une pause au Moulin de la Barne à Arques.
Le mardi après-midi à Arques, les habitant·es du Square Marcel Pagnol le savent, c’est le jour où le centre social Community propose des animations. La Caravane des médias est de la partie.
Notre périple cette semaine commence à Lumbres. C’est ici que nous avons choisi de nous installer pour rayonner entre Saint-Omer, la “petite Venise du Nord” et les plages de la Côte d’Opale. Au bar PMU Aux Trotteurs, nous sommes allés prendre le pouls du patelin.
Laurent Petit est psychanalyste urbain. Une drôle de profession à mi-chemin entre le réel et la fabulation, qu’il exerce depuis 15 ans. Avec son cabinet, l’ANPU (Agence nationale de psychanalyse urbaine), il investigue les territoires, dont le bassin minier. Rencontre.
Émission sur le blues, le metal ou à bord de bolides sur les routes américaines, les passions ont libre cours à Scarpe Sensée. Découvrez les voix de l’épanouissement radiophonique pour tous du 94.1 FM dans le Douaisis.
Le visage de Janine au milieu des corons dans Visages Villages d’Agnès Varda et JR, c’est lui. La maison d’Adèle à Liévin dans La vie d’Adèle d’Abdellatif Kechiche, c’est lui aussi. Tout comme les décors liévinois de Je ne vois pas ce qu’on me trouve de Christian Vincent. Lui, c’est Frédéric Alexandre.